Avec 30% des nuitées touristiques, le tourisme rural, représente une part croissante de la consommation touristique. Cette tendance s’explique par des raisons sociétales, économiques, mais aussi environnementales. Les clientèles, citadines principalement, aspirent à vivre des expériences inédites et découvrir des savoir-faire, en immersion dans la nature.

L’agritourisme, tout comme l’œnotourisme, est une forme du tourisme rural.

Il revêt 3 principaux aspects : l’hébergement, la restauration, la visite.

Ces activités sont généralement proposées en complément de la vente directe à la ferme, favorisée par l’engouement des consommateurs pour le bio et les circuits courts.

Pour les producteurs agricoles et éleveurs, l’agritourisme génère des revenus supplémentaires, et permet de partager leur savoir-faire, établissant un lien humain valorisant et donc source d’épanouissement. Cela implique souvent d’intégrer un réseau (Bienvenue à la ferme, Accueil paysan) permettant aux agriculteurs de se rapprocher de leurs pairs, tout en offrant une visibilité de leur activité auprès du public.

Pour les destinations touristiques, proposer une offre agritouristique est une formidable opportunité de promouvoir les spécificités de son territoire et ses acteurs, de renforcer son attractivité et de diversifier ses clientèles.

Dans la tendance de l’écotourisme et du slow tourisme, l’enjeu pour les territoires est de réussir à structurer son offre en agritourisme et de favoriser son développement.

Pour les porteurs de projets, agriculteurs ou caves coopératives, diversifier son activité implique de repenser son modèle économique en se posant les bonnes questions :

Grâce à notre connaissance de la filière agricole et de ses institutions, nous vous apportons :